J'avais perdu l'habitude, les clés de la solitude,
J'avais perdu l'amer et les déserts arides
Même la chaleur des pull-overs, j'avais perdu l'enfer
Au paradis...
J'avais oublié les refrains qui nous rappellent à l'ordre
Et ton foutu désordre, ce désordre essentiel mais siconfidentiel,
L'existence et les roses se fanent, même un lundi
Au paradis...
Personne
Ne te remplace, non, personne,
Non, personne
Ne te remplace,
Ne te remplace.
C'est un enfer à vivre mais comment vivre avec mes enviesinsensées
Car ton armoire est vide. Mes rêves me dévorent
Et mes draps sont glacés
Toutes les nuits...
On n'a plus goût à rien mais tant besoin de tout
C'qui pourrait remplacer un être indélébile. On cherche en vainle double.
On serait prêt à tout pour revoir le jour,
Toutes les nuits...
Personne
Ne te remplace, non, personne,
Non, personne
Ne te remplace,
Ne te remplace.